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Le jeu, c’est sérieux!

11/7/2016

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Noël approche à grands pas et nous pensons déjà aux cadeaux que nous offrirons à nos petits trésors. Cependant, le budget ne permet pas toujours de leur offrir ce qu’ils veulent. En tant que parents, nous devons faire la différence entre les désirs et les besoins des enfants. Il est important de ne pas réaliser tous leurs désirs pour ne pas les transformer en « enfants-rois ». Par contre, répondre à leurs besoins est essentiel et le jeu en fait partie.
 
Jusqu’à 6 ou 8 mois, on ne parle pas de jeu comme tel, mais d’activité pré-ludique comme, par exemple ,de la stimulation. Ensuite, jusqu’à 2 ans toutes les activités sont en lien avec les sens et le corps. À partir de 2 ans et jusqu’à 6-7 ans le jeu est caractérisé par le développement de l’imaginaire et de la créativité et, enfin, de 6 à 10 ans on retrouve les jeux de règles et les opérations concrètes nécessaires aux apprentissages scolaires. Donc, le jeu est important car il favorise le développement global et c’est en jouant que l’enfant apprend. Cependant, trop de jouets peut l’inciter à être toujours en action et à ne plus pouvoir fixer son attention.
 
Par le jeu, l’enfant fait des découvertes, il résout des problèmes, il construit et assemble, il imagine, il bouge et il apprend. Le jeu est une activité essentielle au développement de tous les enfants. En sachant cela, les parents veulent offrir les plus beaux jouets à leur enfant et c’est tout à fait normal. Cependant les meilleurs jouets ne sont pas les plus chers : les plats en plastique, les boîtes de carton, des bouts de tissus se transforment de toutes les façons selon l’imagination. De plus les parents savent très bien que leur présence, pendant le jeu, est encore plus importante que le jouet lui-même. Bien sûr, l’enfant doit apprendre à jouer seul pendant de petites périodes et il doit aussi apprendre à jouer avec d’autres enfants pour acquérir la notion du tour de rôle et de partage. Mais il doit aussi avoir la possibilité de jouer avec son parent car lorsque l’enfant joue avec sa maman ou son papa, il développe ce qu’il y a de plus précieux : un lien affectif. Il se sent aimé et important pour la personne qu’il aime le plus au monde.

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Les peurs

10/7/2016

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Les peurs​
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Tous les enfants éprouvent des peurs à un moment ou à un autre et ce, dès la naissance. Elles sont tout à fait normales. Elles font parties du processus du développement de l’enfant et elles sont importantes parce qu’elles lui permettent de se protéger des dangers réels. Elles peuvent aussi se développer par conditionnement : par exemple, un enfant qui se prend un doigt dans la porte aura peur que cet incident se reproduise ou s’il entend sa mère crier à chaque fois qu’elle voit une araignée, il risque de développer cette peur.
 
La première peur qui apparaît est la peur des bruits et la plus fréquente est celle de la noirceur. Ainsi, dès la naissance, le bébé peut avoir peur des bruits ou des mouvements brusques. Ce sont des peurs innées et instinctives et il dépend totalement de nous pour le rassurer. Ensuite, vers 10 mois, le bébé commence à avoir peur des gens peu familiers et des visages nouveaux. On l’appelle l’angoisse de séparation. Un peu plus tard, vers 18 mois, les enfants ont parfois peur des gros bruits comme le tonnerre ou l’aspirateur. Ensuite, apparaît la peur des monstres, de la noirceur ou de la nuit. Entre 2 et 5 ans, les peurs sont plus fréquentes car, l’enfant a de la difficulté à distinguer le réel de l’imaginaire et il se met à avoir peur des sorcières, des fantômes ou des monstres. Il y a aussi les peurs passagères comme la peur des chiens, des orages, ou des clowns. Puis, à partir de 6 ou 8 ans, ils peuvent avoir peur du loup ou de la mort et angoissent à l’idée de perdre un proche.
 
Pour les aider, il ne faut surtout pas les surprotéger ou nier leur peur. Nous devons les réconforter et les respecter sans les critiquer tout en contrôlant nos propres réactions, parce qu’un enfant apprend par l’exemple. S’il est bien accompagné, on lui envoie le message suivant : «Tu as tout ce qu’il faut pour surmonter les obstacles de la vie».
 
En attendant, passez un joyeux Halloween avec vos petits «monstres».
 
Danièle Héroux
​Maternaide

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Déjà la maternelle !

8/29/2016

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Déjà la maternelle!
 
En tant que parents, nous sommes toujours un peu inquiets lorsque notre enfant fait son entrée à la maternelle. On se questionne : est-il prêt?  Va-t-il bien s’adapter?  Va-t-il aimer son enseignant(e)?  Va-t-il se faire des amis rapidement? On voudrait tant que tout se passe bien pour notre p’tit coco! Bien sûr, on ne peut pas tout prévoir mais on peut l’aider à s’intégrer en le préparant. Par exemple, on peut lui apprendre à retenir son numéro de téléphone, à être autonome à la toilette ou à déballer sa collation. Il est important de lui enseigner à résoudre des problèmes et à régler des conflits. Mais on doit surtout le soutenir et lui donner confiance en lui, en s’intéressant à ce qu’il fait, en le félicitant pour ses réussites et en l’écoutant. Il doit sentir que nous sommes présents et concernés sans tomber dans la surprotection. Parce que surprotéger un enfant peut nuire au développement de l’autonomie et de l’estime de soi. On l’invite donc à participer à la préparation de sa collation et à choisir ses vêtements du lendemain en lui offrant deux possibilités. Tout cela contribue à développer son estime de lui-même et l’aidera à relever les défis de la rentrée.
 
Si votre enfant a fréquenté un service de garde, il a déjà des acquis intéressants qui vont lui permettre de mieux s’intégrer à l’école. Il a eu la possibilité de développer des habiletés sociales parce qu’il a été en contact avec des enfants et des adultes significatifs. Chez Maternaide, nous offrons un service de halte-garderie, du lundi au vendredi  pour permettre à l’enfant de sociabiliser et d’apprendre tout en s’amusant. Ce service gratuit est offert aux enfants (0-5 ans) dont un des deux parents ne travaille pas. Pour profiter de ce service ou pour tout autre renseignement, contactez-nous chez Maternaide.
 
 
Danièle Héroux
Maternaide


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Vous n'êtes pas seuls !

4/1/2016

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​Être parent n’est pas facile tous les jours : nous perdons une certaine liberté… Il arrive aussi que nous manquions de sommeil parce que notre bébé ne dort pas toute la nuit ou que l’on soit inquiet ou dépassé par le comportement de notre enfant. Ce manque de sommeil et les inquiétudes font en sorte que l’on manque de patience, que l’on ne se fait plus confiance et que l’on ne sait plus quoi faire ni comment le faire.
 
Dès la naissance, nous remarquons que les bébés ont un tempérament facile, lent ou difficile. Chaque enfant est unique et le parent doit, quoiqu’il arrive,  répondre à ses besoins qui peuvent être intenses. Chaque bébé a sa façon de communiquer et d’exprimer ses besoins. Il adapte même ses pleurs selon la réponse qu’il reçoit ou ne reçoit pas de son parent. En effet, il pourrait, par exemple, pleurer encore plus fort si son besoin n’est pas comblé par son parent. Lorsque celui-ci tarde à répondre parce qu’il ressent une grande fatigue et de l’impuissance, le bébé pleurera encore plus fort et ce sera l’escalade.
 
Parfois, des circonstances difficiles de la vie nous apportent du stress et font en sorte que le rôle de parent est plus lourd à porter. Il est plus facile de le faire si notre conjoint(e) est présent(e) ou si la famille nous offre de l’aide.
 
Malgré tout, il peut arriver d’être à bout de souffle et de se sentir incompétent. C’est un sentiment normal qui ne doit pas nous culpabiliser mais nous indiquer qu’il est temps de se tourner vers des ressources telles que l’organisme «Maternaide» qui offre plusieurs services aux parents et ce, en toute confidentialité. Si vous avez besoin d’aide, nous sommes là pour vous.
 
Danièle Héroux
​Maternaide

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